Je suis passé chez Buchet. Rendez-vous avec Vera. Café avec Pascale. Petit point avec Claire après les envois d’épreuves des Innocentes à la presse. Ca démarre pas mal. Elle a vraiment fait un beau boulot. Pourvu que ce titre marche. J’avais rendez-vous pour déjeuner avec Aurélie au Bistrot de Paris, rue de Lille. Elle venait, « en voisine », de La revue des deux mondes, où elle pige régulièrement. Elle m’a donné des nouvelles de Page où nous nous étions rencontrés en 2006, quand j’y avais travaillé un ou deux mois. J’en garde un horrible souvenir. Tout se passait là-bas comme dans « Un thé chez les fous », ce chapitre d’Alice où la pauvre doit sans cesse changer de place et où elle se retrouve toujours devant de la vaisselle sale. Pouah. Maintenant, c’est Virginie, la rédactrice en chef, qui vient d’être remerciée. Chacun son tour... Très vite, nous avons parlé d’autre chose. J’avais rendez-vous l’après-midi avec Renaud, chez lui, rue des Martyrs. Nous avions à travailler ensemble un court texte sur le statut financier de l’écrivain. Lui et moi savons bien de quoi il s’agit…