Jeux d’Épreuves avec Sabine, Etienne et Frédéric. Je défendais Un mal sans remède d’Antonio Caballero. Tous ont été enthousiastes sur le livre. Comme à chaque fois qu’il y a cette unanimité, je m’en suis senti rassuré, conforté. Et puis ce texte me touche très particulièrement. Au delà des péripéties tragi-comiques dans lesquelles il embarque son héros, Antonio Caballero, dit simplement à quel point il est difficile d’écrire un poème. Cela fait des mois que je dois rendre mon recueil à Nicole pour Caractères. Et ce n’est toujours pas ça. Toujours pas. J’ai retrouvé Amélie à la gare de Vaugirard. Nous avons pris le train de 20h00.